Liste des produits de Les jardins de Nausicaa
Le projet est local : il utilise le fumier du poney club de la base de loisir de Vaires-Torcy ainsi que celui issu de la micro-ferme de l'école élémentaire du Bel-Air ; il a fabriqué les serres lui-même à partir de planches de récupération selon un modèle low-tech ; il utilise pour le paillage des feuilles mortes et du broyat des paysagistes du secteurs et de la communauté d'agglomération ; il fabrique son propre compost sur place.
Le projet recherche la résilience : il récupère l'eau de pluie de la toiture de la bâtisse dans laquelle se trouve la ressourcerie dans des citernes pour l'irrigation ; il produit ses propres semences en partant de graines non hybridés issues de l'agriculture biologique ; il se passe de moyens motorisés et privilégie les outils manuels (faux, grelinette, houe).
Le projet se veut pédagogique : il accueille avec plaisir visiteurs et bénévoles pour expliquer les méthodes utilisées ; il partage l'évolution des cultures avec l'école du Bel-Air pour que les élèves puissent voir à quoi sert le fumier issu du poulailler et des chèvres de l'école.
Le projet cherche à promouvoir une certaine vision de l'agriculture : celle de l'importance de la cohabitation avec le sauvage, de la biodiversité pour prendre un terme à la mode. il cherche également à montrer la pertinence d'une culture sans moyens mécanisés et sans intrants de synthèse.
Le produit des ventes est totalement réinvesti dans le matériel nécessaire à l'exploitation et à l'aménagement du site.
Le projet recherche la résilience : il récupère l'eau de pluie de la toiture de la bâtisse dans laquelle se trouve la ressourcerie dans des citernes pour l'irrigation ; il produit ses propres semences en partant de graines non hybridés issues de l'agriculture biologique ; il se passe de moyens motorisés et privilégie les outils manuels (faux, grelinette, houe).
Le projet se veut pédagogique : il accueille avec plaisir visiteurs et bénévoles pour expliquer les méthodes utilisées ; il partage l'évolution des cultures avec l'école du Bel-Air pour que les élèves puissent voir à quoi sert le fumier issu du poulailler et des chèvres de l'école.
Le projet cherche à promouvoir une certaine vision de l'agriculture : celle de l'importance de la cohabitation avec le sauvage, de la biodiversité pour prendre un terme à la mode. il cherche également à montrer la pertinence d'une culture sans moyens mécanisés et sans intrants de synthèse.
Le produit des ventes est totalement réinvesti dans le matériel nécessaire à l'exploitation et à l'aménagement du site.